Publié le 4 Janvier 2013

En attendant la fin du monde

édition spéciale

12 cartes originales pour le 21/12/2012


l-experience-de-la-limite.jpg
Sylvain Auburgan
/ http://www.sylvainauburgan.tumblr.com


barborini
Guillaume Barborini
/
http://ricocher.over-blog.com/


friche.jpg

Philippe Bertrand / philippe.bertrand79@aliceadsl.fr


dubais-end-rvb-3.jpg
Ronald de Castelbajac
http://mercipouretrechic.free.fr/


findumonde_fannydemarais.jpg

Fanny Demarais / fannydemarais.tumblr.com

JIMFIN-DU-MONDE.jpg
Jim Fauvet
/ http://www.jimfauvet.fr/

luna-fin-du-monde.jpg
Luna Fauvet – Lamonerie
/ http://www.jimfauvet.fr/

Wonderpools.jpg
Yohann Gozard
/ www.yohanngozard.com

Until.jpg

Aldo Paredes Orejuela / www.aldoparedes.com


mariannefin du monde

Marianne Pascal / www.mariannepascal.com


charly3-copie-1.jpg

Sylvain Solaro / http://www.sylvain-solaro.fr/


Earth_Bunker_Final.jpg

Jürgen Zwingel / jurgenzwingel.com

L'association Omnibus remercie l'ensemble des participants

 

Voir les commentaires

Repost0

Publié le 4 Janvier 2013

 

EN ATTENDANT LA FIN DU MONDE

APPEL A PROJETS POUR UNE EDITION DE CARTES POSTALES

 

La fin du monde serait prévue pour le 21 Décembre 2012.

Ces prédictions sont fondées sur plusieurs croyances annonçant de grands changements ou des événements cataclysmiques. A l'origine, cette date marque la fin des 5125 années d'un cycle du compte long du calendrier maya, interprétée par certains comme la fin définitive de ce calendrier.

L'interprétation New Age de cette transition postule que cette date marquera le début d'une nouvelle ère au cours de laquelle la Terre et ses habitants connaîtront une transformation spirituelle ou physique radicale. Selon d'autres, le 21 décembre 2012 marquera la fin du monde ou une catastrophe similaire. Parmi les différents scénarios évoqués on peut citer un maximum du cycle solaire ou une collision de la Terre avec un trou noir, un objet géocroiseur, ou l'hypothétique planète Nibiru.

 

L'association Omnibus vous propose de réaliser une image sur ce sujet pour une édition de cartes postales originales. 12 artistes seront sélectionnés et leurs cartes éditées à 250 exemplaires, soit un total général de 3000 cartes.

Les artistes sélectionnés recevront 100 exemplaires de la carte qu'ils auront réalisée, ainsi qu'un set comprenant les 12 cartes éditées.

L'association souhaite utiliser les cartes pour envoyer ses vœux et pour sa communication. L'artiste dispose de ses cartes comme il le souhaite.

 

Si vous êtes intéressés :

Format des images à envoyer :

11 x 16 cm (bords perdus de 0,5 mm inclus), 300 dpi, cmjn, en jpg.

Envoyez vos propositions avant le 18 novembre 2012, par mail à infomnibus@orange.fr ou par un lien We Transfer si le document est trop lourd.

Sélection définitive le 21 novembre 2012.

Parution des cartes le 20 décembre 2012.

 

Jeudi 20 décembre 2012, Omnibus organise une soirée conviviale autour de la présentation de cette édition et d'un déballage artistique de Noël, qui sera ouvert au public jusqu'au samedi 22 décembre au soir… si tout va bien.

nibiru.jpg

Si vous souhaitez également participer au déballage de Noël : merci de contacter Phillipe Bertrand philippe.bertrand79@aliceadsl.fr, ou Frédéric Ducos frederic.ducos@sfr.fr, qui organisent l'évènement.

 

APPEL A PARTICIPATION OFFICIEL BIENTÔT


Omnibus - Laboratoire de propositions artistiques contemporaines

29 avenue Bertrand Barère 65000 Tarbes

05 62 51 00 15 - infomnibus@orange.fr

 

Voir les commentaires

Repost0

Publié le 4 Décembre 2012

rectosapinmail.jpg

GRANDE BRADERIE ARTISTIQUE

Jeudi 20 décembre 2012 à partir de 19h

Soirée Pré Apocalyptique

Exposition vente d'œuvres d'art originales
Lancement de la nouvelle édition d'Omnibus :
En attendant le fin du monde
Vin chaud et buffet froid


vendredi 21 et samedi 22 décembre 2012
ouverture de 14h30 à 19h

 

Voir les commentaires

Rédigé par OMNIBUS

Publié dans #Au programme

Repost0

Publié le 17 Novembre 2012

L'association Omnibus vous propose de participer à son grand débarras de fin du monde... Vous avez des œuvres périmées ou des vieilles croûtes dont vous ne savez plus quoi faire ? Venez les fourguer à OMNIBUS !!!

flyerboutikfindumondemail.jpg

Modalités de participation

Ouvert à tous ou presque... Dans la mesure du bon goût officiel à Tarbes (si c'est pas de la daube !).

Déballage libre (plus ou moins...) du mercredi 19 décembre à 14h au jeudi 20 à 18h. Ouverture au public le 20 décembre à partir de 19h et les vendredi 21 et samedi 22 décembre de 14h30 à 19h.

Prix de vente libre (pas cher c'est mieux, sachez-le).

En cas de vente, un don à l'association sera bienvenu.

Reprise des œuvres le samedi 22 décembre au soir ou début janvier.

Si vous êtes intéressés, merci de nous le faire savoir à l'avance :)

Contacts

Philippe Bertrand : philippe.bertrand79@aliceadsl.fr / 06 65 60 54 45
Frédéric Ducos : jardinsdespossibles@gmail.fr / 06 77 64 31 97

Informations pratiques

Omnibus – Laboratoire de propositions artistiques contemporaines
29 avenue Bertrand Barère 65000 TARBES
05 62 51 00 15 / infomnibus@orange.fr


Vin chaud et buffet froid au programme de la soirée d'ouverture, autour du lancement de la nouvelle édition d'Omnibus : En attendant la fin du monde
!

Voir les commentaires

Publié dans #Au programme

Repost0

Publié le 24 Octobre 2012

P1010691 P1010692
P1010689 P1010665
P1010636 P1010601
P1010571 P1010648
P1010670.jpg P1010653.jpg

Fabien Guiraud, L'été dernier
Exposition du 11/10 au 30/11/2012
Omnibus, Tarbes


Liste des œuvres


> Résidence secondaire, 2012

Installation in situ, sable fin, dimensions variables
> Au large, 2012

Installation in situ, 100 photographies couleur, 10 x 15 cm, punaises
> Souvenir, 2009

Vidéo, 4’ 41’’, en boucle
> Orient express, 2012

Tapis, armature métallique, 1 x 2 m environ

> Summer Love, 2012
Installation in situ, cailloux, cendres, bois brûlé, sable fin, dimensions variables
> Les neiges éternelles, Gizeh, 2011

Photographie couleur, cadre bois et verre, 75 x 105 cm
> Les neiges éternelles, Paris, 2012

Photographie couleur, cadre bois et verre, 65 x 85 cm

> Les neiges éternelles, Itza, 2012

Photographie couleur, cadre bois et verre, 55 x 105 cm
> Temple, 2012

Sculpture en pin des Landes, 21 éléments modulables, dimensions variables
> La belle rouge, 2012

Images animées, 15 sec. en boucle

http://fabienguiraud.tumblr.com/

Voir les commentaires

Rédigé par OMNIBUS

Publié dans #Expositions

Repost0

Publié le 24 Octobre 2012

P1010691

Résidence secondaire, 2012
sable

Au large, 2012
photographies couleur, punaises


Fabien Guiraud, L'été dernier
Exposition du 11 octobre au 30 novembre 2012


Sous le titre nostalgique de L’été dernier, comme une chanson pop, romantique et un peu kitsch, Fabien Guiraud présente pour sa première exposition personnelle un ensemble de pièces interrogeant de manière ludique le statut des objets, et différents clichés de la société contemporaine. Il multiplie les déplacements de signes et invente un vrai tapis volant, transforme des pyramides en montagnes aux sommets enneigés, et fait d’une punaise la bouée surgissant d’une mer de carte postale. Fabien Guiraud joue avec les nombreuses significations que recèlent les images et le langage, tout en affichant une prédilection pour les matériaux éphémères et l’objet banal. Ses productions plastiques fonctionnent par associations d’idées, comme des mots d’esprit ou des rébus, rehaussés par des titres choisis.


Polysémie
Dès l’entrée de l’exposition, le ton est donné. Au centre de la pièce trône un tas de sable avec lequel l’artiste a réalisé des formes de parpaings. Disposés en cercle, ils préfigurent les fondations d’une tour irrévocablement ruinée. Comme bien souvent chez Guiraud, le matériau est utilisé tel quel, sans aucun artifice. Les briques de l’édifice de sable s’écroulent peu à peu, vestiges abandonnés symboles de la fugacité du temps. Intitulée Résidence secondaire, ce chantier impossible véhicule aussi une imagerie populaire, celle des vacances, des châteaux et des sculptures de sable, des souvenirs de bords de mer auxquels font écho une centaine de photographies disposées en nuage dans un angle de mur.
Sur ces images de cartes postales au premier abord identiques, on peut voir deux bandes bleues superposées : ¾ de mer, ¼ de ciel, et un point jaune ressemblant à une bouée. En regardant mieux un étrange vertige saisit le regard. L’effet d’optique s’explique lorsque la bouée redevient une punaise banale, qui pique l’image sur le mur. Ainsi Guiraud s’amuse à « observer le réel pour ce qu’il pourrait simuler. Faire apparaître comme réelle une chose qui ne l’est pas. Cette position déstabilise la perception sur le monde environnant et permet d’en élargir les représentations. » 1
Qu’elles soient réalisées par lui-même ou bien empruntées sur le Net, les photographies qu’il utilise sont volontairement ordinaires, proches d’une pratique amateur. Elles appartiennent à un répertoire commun, que chacun peut s’approprier. Fabien Guiraud mélange les sources, utilise des photographies de famille ou trouvées, rejoue et fige de vrais souvenirs de vacances (La Tramontane, 2007), confond mise en scène et document, s’invente des biographies fictives, ou choisit de travailler en série avec des images appartenant à la mémoire sociale et collective.
Pour les Neiges éternelles, il repeint indifféremment d’un trait blanc les sommets des pyramides de Gizeh ou du Louvre, en un geste presque distrait qui mêle différentes époques, icônes et civilisations, pour révéler des montagnes naïves et sensibles.
« En plaçant le regardeur dans cette situation, Fabien Guiraud nous fait comprendre que l’idée compte bien plus que sa réalisation, et nous enjoint à explorer la petite part d’imagination propre à chacun (…). La génération née dans les années 80 a bien connu le chocolat «Merveilles du monde». Nous ouvrions ces plaquettes et découvrions des animaux de tout continents, tout en faisant fondre des carrés sur notre langue. Avec ses Neiges éternelles, Fabien Guiraud n’a-t-il pas l’intention de nous rappeler à nos priorités de compréhension du monde ? (…)
Il faut finir l’esquimau glacé avant qu’il ne commence à nous couler sur les doigts. » 2
Fabien Guiraud développe une pratique conceptuelle qui refuse de hiérarchiser les œuvres en fonction du talent ou de l’habileté nécessaires à leur réalisation. Avec ses images modèles, ses matériaux fragiles ou ses objets détournés et ses gestes simples, il cultive l’erreur et l’exploit dérisoire, interrogeant, sur le mode de l’autodérision, les limites de l’art.


Les règles du jeu
De LHOOQ, la célèbre Joconde à moustaches, à In Advance of the Broken Arm, ready-made constitué d’une pelle à neige transformée par la seule logique verbale, il y a indubitablement du Marcel Duchamp chez Fabien Guiraud. Dans son sillage néo-dadaïste, ou dans celui plus proche de Robert Filliou, Fabien Guiraud considère le réel comme un immense réservoir de matériaux transformables par les règles du jeu d’une idée artistique. Les objets que cet observateur poétique du quotidien prélève dans le réel sont parfois banals, mais ce sont toujours des signes porteurs de sens et d’informations, qui perdent leur fonction d’origine pour trouver une nouvelle symbolique dans l’interprétation. Les formes créées se trouvant ainsi elles-mêmes enrichies de ces connotations et fonctions antérieures. Orient express est un tapis aux ornements persans d’un mètre par deux, plié comme un avion en papier. Les significations se chevauchent et s’impressionnent, de destinations exotiques en contes des Milles et une nuit, tandis que le titre souligne dans le même temps avec ironie une idée de vitesse et, au-delà, de rapidité d’exécution.
Souvent, c’est avec le visiteur que Fabien Guiraud joue, en faisant appel à son sens de l’humour, en le touchant et en l’impliquant mentalement dans l’œuvre, par projection, ou, comme avec Les repères, une pièce photographique plus ancienne, en l’invitant à relier mentalement une multitude de points numérotés constellant un ciel bleu, pour créer un dessin absurde. « Ici, c’est l’exercice lui-même qui fait image et qui instaure du coup un jeu entre le visuel et le narratif. Sur le fond bleu, les points évoquent plus volontiers des agrafes ou des entailles dans une toile, et l’éparpillement échevelé des chiffres à relier, l’autopsie d’une scène de crime. On peut encore tenter de se frotter à l’énigme de la mystérieuse combinaison de chiffres, telle la promesse d’une cosmologie inconnue soudain révélée. Et finir par se laisser prendre par la danse des grues tout là-haut dans le ciel… ». 3

Complément d’objet direct
Les objets et sculptures de Fabien Guiraud sont des trompes l’œil, des leurres où se confrontent le réel et l’illusion autour de représentations archétypales, de rituels sociaux : des photographies touristiques, les dessins et les jeux de l’enfance, ou les amours de vacances (Summer Love, 2012). Un travail malicieusement sociologique qui interroge les traces et les icônes des civilisations contemporaines.
Pour Temple Fabien Guiraud convoque des valeurs anciennes ou traditionnelles, clin d’œil à la magnificence de l’architecture antique et des ruines, en réalisant de vraies / fausses colonnes en bois qu’il assemble comme un jeu de Lego, le tout pesant quand même plusieurs centaines de kilos. « Cet ensemble nous montre une nature artificialisée, réduite à sa simple apparence et pourtant lieu des possibles pour des rêveurs. Peu importe dans le fond que la ruine soit neuve, elle fait écho à un passé dans l’historique que nous avons appris à lire comme pittoresque, voire merveilleux. (…) Une composition qui donne à voir le processus de la ruine, et laisse le spectateur imaginer les étapes intermédiaires qui ont fait d’un arbre vivant un morceau de sculpture. » 4
Fabien Guiraud exploite aussi l’intégration d’une architecture à l’intérieur d’une autre, celle du lieu, installe donc un temple en ruine dans un entrepôt, mélangeant une fois de plus allègrement représentation et réalité, traces archéologiques et temps présent, supercherie et réalisme.

Autour d’un travail iconoclaste plein d’humour et de candeur privilégiant la valeur du jeu et l’imagination, les vacances de Monsieur Guiraud oscillent ainsi avec grâce entre poésie et absurde. Un petit feu d’artifice coloré explose en silence sur un moniteur au fond de la galerie, comme en écho à la vidéo Souvenir, une boule en verre agitée en vain ne contenant rien d’autre que de la neige pailletée, qui attendait le visiteur à l’entrée de l’exposition. La boucle est bouclée…

Et si on se prenait enfin un peu moins au sérieux ?

Erika Bretton 

1. / 2. / 3. / 4. : Propos de Fabien Guiraud / Pierre Clément / Catherine Fontaine / Jean-François Dumont

Voir les commentaires

Rédigé par OMNIBUS

Publié dans #Expositions

Repost0

Publié le 17 Septembre 2012

 Poursuivant ses actions en faveur de la création régionale émergente, l’association Omnibus présente la première exposition personnelle de Fabien Guiraud, jeune artiste né à Toulouse et diplômé de l’Ecole Supérieure d’Art des Pyrénées de Tarbes en 2009.

Sous le titre nostalgique de « L’été dernier », il propose un ensemble de pièces ludiques qui jouent avec les clichés, interrogeant la réalité des images et le statut des objets. Il multiplie les déplacements de signes et invente un vrai tapis volant, transforme des pyramides en montagnes aux sommets enneigés, et fait d’une punaise la bouée surgissant d’une mer de carte postale. Avec beaucoup d’humour, les vacances de Monsieur Guiraud oscillent ainsi entre poésie et absurde.

 

Fabien GUIRAUD, « L’été dernier».

du 11 octobre au 30 novembre 2012. Vernissage le jeudi 11/10/2012

Ouverture du mercredi au samedi de 14h30 à 19h

rectoété2

Voir les commentaires

Rédigé par OMNIBUS

Publié dans #Au programme

Repost0

Publié le 25 Août 2012

Samedi 15 septembre à 20h30

L'association Quelque Part (Faut Voir) propose une expérience particulière à Omnibus ! Tous les sens seront sollicités pour cette projection du film Le festin de Babette, de Gabriel Axel, sur une performance culinaire en direct de l’artiste Emilie Franceschin : Tout a un début et une faim.
Dégustation dans la soirée.


Cinévore > un film / une performance
Le festin de Babette / Tout a un début et une faim

Gabriel Axel / Emilie Franceschin


Tarifs : 8 euros / gratuit - de 12 ans
Renseignements : qpfv@orange.fr /
infomnibus@orange.fr

 

Omnibus - 29 avenue Bertrand Barère 65000 Tarbes

cinevorerecto.jpg

cinevoreverso.jpg

Voir les commentaires

Rédigé par OMNIBUS

Publié dans #Au programme

Repost0

Publié le 29 Juin 2012

A la ville ou à la campagne, le Labotopia ça marche comme ça !

Bloglabotopia.jpg

Déambulation du Labotapia à Tarbes le 21 juin 2012, à Gayan (65) le 23 juin 2012.

 Merci aux Labotopiens : Maya, Valérie, Marie-Jo, Sophie et Carlos, qui nous poussent à croire qu'un monde nouveau est possible !


Pour en savoir plus : Compagnie de la Tong

06 78 85 51 26 / compagniedelatong@gmail.Com
http://compagniedelatong.over-blog.com/article-le-labotopia-62866289.html

Voir les commentaires

Rédigé par OMNIBUS

Publié dans #Evènements et performances

Repost0

Publié le 8 Juin 2012

À voir jusqu'au samedi 16 juin 2012
 Pierre Clément, Effets variables

Il y a dans le travail plastique de Pierre Clément des préoccupations qui sont le reflet d'une génération. Celle qui s'est développée à la fin du XXe siècle en même temps que les nouvelles technologies d'information et de communication, et qui a vu la télévision, les médias et d'une manière générale les images envahir le quotidien. Une foule d'images et de textes véhiculée grâce aux progrès de la machine. Des monceaux d'informations de toutes natures diffusées sur le Net, accessibles en un clic : un terrain de jeu parfait pour Pierre Clément. Nourri par ce flux, il réalise des pièces qui interrogent les représentations mentales et sociales générées par la dite « Société de l'information », tout en prenant un malin plaisir à jouer avec les codes, les langages et les outils issus de la technologie.

Une exposition à ne pas manquer !
Ouverture du mercredi au samedi de 14h30 à 19h


http://pierreclement.eu/
http://laboratoire-omnibus.over-blog.com
loading2

À suivre les 21, 22 et 23 juin 2012

La compagnie de la Tong vous invite à découvrir sa machine du monde nouveau !

LABOTOPIA

jeudi 21 juin
Déambulation pour une intervention utopique
À la fois guinguette ambulante, boîte à images, espace d'expression et objet théâtral, le Labotopia déambulera depuis la place de Verdun jusqu'à Omnibus pour une intervention utopique !

RDV à 19h place de Verdun pour la déambulation
Arrivée estimée à Omnibus à 19h30
pour refaire le monde ensemble autour d'un apéro spectacle.

vendredi 22 juin
RDV à 19h 30 à Omnibus

pour découvrir la machine, donner votre avis sur un monde nouveau, et échanger autour d'un verre.

samedi 23 juin
RDV à 19h 30 à Gayan
La machine à utopies déambule dans le village de Gayan et s'invite au pique nique organisé par l'association Quelque Part Faut Voir pour une soirée
Doc sur canapé.


http://compagniedelatong.over-blog.com/article-le-labotopia-62866289.html
 flyerlabotopiamail

Voir les commentaires

Rédigé par OMNIBUS

Publié dans #Au programme

Repost0